Statut d’artiste : “Il faut passer des promesses aux actes”

La Libre Belgique.
Politique – Marine-Colline Leroy, député fédérale Écolo et présidente de commission, a fixé de nouvelles auditions du secteur culturel en commission dès le 20 janvier.

Octobre – Nouveau gouvernement Vivaldi. Une enveloppe de 75 millions est prévue pour la révision du statut pour être plus en adéquation avec les spécificités du secteur.
L’UPAC-T est aussi conviée à échanger autour de la table avec d’autres représentant·e·s du secteur culturel et le politique.

UPAC-T, le nouveau porte-voix des travailleur·euses de la culture !

Avec une quinzaine d’autres fédérations de diverses disciplines artistiques, nous avons décidé de créer l’UPAC-T, une union de fédérations pour mieux défendre nos membres en cette période de crise. A la suite des campagnes “No Culture No Future”, “Still Standing”, “Don’T Switch Off”, et face à la crise terrible que nous traversons, nous nous sommes…Continue reading UPAC-T, le nouveau porte-voix des travailleur·euses de la culture !

Réforme du statut d’artiste – UPAC-T écrit aux ministres

Le 14 juillet dernier, la Conférence interministérielle de la Culture (CIM) présidée par Jan Jambon a institué un groupe de travail « artistes », dont l’ordre du jour incluait la réforme structurelle du statut d’artiste.
UPAC-T contacte alors la ministre de la culture, Mme. Bénédicte Linard et le vice-Premier ministre et ministre fédéral des Affaires sociales et de la Santé, M. Frank Vandenbroucke suite au retard vraisemblable de ce groupe de travail qui devait rendre un rapport en décembre. Il semblerait que le groupe ne s’est jamais réuni et que le rapport ne sera pas rendu dans ce calendrier.

UPAC-T c’est l’Union de Professionnel·les des Arts et de la Création – pôle de Travailleur·euses créée pendant le confinement en réponse à l’impact de la crise COVID sur le secteur artistique et culturel.

Historique de l’UPAC-T

FACIR est cofondatrice de l’UPAC-T, une Union de Professionnel·les des Arts et de la Création – pôle Travailleur·euse. Elle est née en réponse à l’impact de la crise COVID sur le secteur artistique, culturel et événementiel.

Depuis sept mois, nous sommes sur le terrain pour faire entendre la voix des travailleur·euses des arts et et de la création. Sept mois de combat, avec des résultats concrets. En effet, depuis le premier confinement, les signataires de l’UPAC-T avec d’autres fédérations professionnelles sont à l’origine de plusieurs campagnes de communication : No Culture No Future, Still Standing For Culture et Don’t Switch Off. Des campagnes qui ont pour objectifs de visibiliser nos revendications, porter une voix commune et surtout pousser les politiques à l’instauration claire et réaliste de mesure d’urgence.

Communiqué de l’UPAC-T

Communiqué de l’UPAC-T, un regroupement de fédérations créé pendant le confinement et en réponse à la mauvaise gestion du gouvernement en matière d’aides et de mesures pour le secteur culturel.
Le secteur culturel reste en veilleuse sans « Switch off ». Mais cela sera-t-il suffisant pour préserver sa pérennité et sa viabilité ? Budgétairement, socialement et artistiquement ?
→ L’UPAC-T (Union de Professionnel·les des Arts et de la Création-Travailleur·euse), constituée de Fédérations oeuvrant dans le secteur artistique et culturel, est consciente de l’extrême gravité de la situation sanitaire et des conséquences graves qu’elle entraîne pour les personnes.

“Réforme du statut” : Une vingtaine de balises co-signées par 37 fédérations professionnelles !

Depuis le confinement, un groupe de travail a été mis en place pour réfléchir de manière transversale à l’amélioration de « la protection sociale des travailleur·euses intermittent·es des Arts et de la Culture » dont la précarité structurelle a été mise en lumière à l’occasion de la crise.

Afin d’accompagner de manière constructive les volontés politiques de réforme de l’actuel « statut de l’artiste » inscrites dans l’accord de gouvernement, nous portons à votre attention le document annexé où vous lirez une vingtaine de priorités partagées et co-signées par 37 fédérations / organisations professionnelles.

Nous espérons évidemment continuer à tenir un rôle d’interlocuteur·rice privilégié·e dans les futures discussions qui nourriront la réforme de la protection sociale des travailleur·euses de notre secteur.

[Ce document a été transmis ) l’ensemble du gouvernement fédéral ainsi qu’aux médias (FR/NL).]